LE HAVRE, MA VILLE...

NAVIRE A QUAI

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MÉTÉO

La mer est calme...

... mais les restos sont démontés !

Rendez-vous l’année prochaine… en tous cas pour certain car cette année était la dernière année du bail signé avec la municipalité. Pour poursuivre l’aventure, il faudra séduire à nouveau le jury et les gagnants bénéficieront d’une concession de 7 ans.

LE HAVRE, MA VILLE... (et ses environs)

COMME SI ON Y ÉTAIS...

Le week-end dernier à Gonfreville l'Ocher, les modélistes de la région (et d'ailleurs) exposaient leurs réalisations.

BRÈVES...

• Christine Boutin  a confié à Paris Match : « J’aime être nue, libre de mes mouvements » Dans ce cas, que Paris Match s’en tienne au poids des mots et nous épargne le choc des photos.
• Mme Sophie Tell nous prie de préciser qu’elle n’a rien à voir avec une quelconque histoire de troussage de soubrette dont il est question actuellement dans les médias.
• A une question d’un journaliste, Marc Liévremont a répondu : « Tu m’emmerdes avec ta question ». Même quand il n’est plus sur le terrain, il est toujours aussi bon au dégagement en touche.
• A l’émission de samedi dernier « On n’est pas couché », Audrey Pulvar et Natacha Polony ont accusé Christophe Hondelatte qui vient de  publier un CD de chansons, d’attentat contre la chanson française. Elles ont fait sortir l’accusé.
• A la coupe du monde de rugby, contre les « Tout noirs », les « bleus » ont joué en « tout blanc ». C’est pour que les possesseurs de télévision noir et blanc puissent distinguer les joueurs des deux équipes.
• Après une parenthèse en France, Tony Parker retournera à San Antonio où il a prolongé son contrat. Sa fidélité est exemplaire et on est admiratif de voir comme y sert San Antonio.
• Thierry Gaubert, l’ami proche de Nicolas Sarkozy, est mis en examen pour avoir transporté des valises à billets. Thierry Gaubert a mis sa culotte à l’envers.

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DANS LE CIEL D’ÉTRETAT

LE HAVRE, MA VILLE... (et ses environs)

DANS LE CIEL D'ÉTRETAT (1/2)

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FRANCE

Lors de la vente du paquebot en 1979, jean pierre ollivier veille. Il réussit a récupérer les 6 lettres lumineuses qui s’étalaient au dessus du pont supérieur entre les deux cheminées du paquebot, contre… quelques bonnes bouteilles.

Après leur remise en état par les bénévoles de l’association du musée maritime et portuaire du havre, elles guident aujourd’hui les visiteurs du musée de la marine, palais de Chaillot à Paris.

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LA MAISON DES INGENIEURS

Construite entre 1900 et 1905 par Lazare Weiller, le fondateur des Tréfileries et laminoirs du Havre, elle était destinée à accueillir et loger les cadres de l’usine et servir de lieu de réunion à la direction de l’usine.

Peu à peu abandonnée, elle est vouée à la démolition à la fermeture de Tréfimétaux en 1986.

 Sauvée de la destruction et restaurée elle comporte aujourd’hui 8 chambres d’étudiants et deux bureaux professionnels. Elle est inscrite à l’inventaire des Monuments historiques depuis octobre 1998.

De l’œuvre humaine considérable de Lazare Weiller (1858-1928) au Havre ne subsiste en principal que l'Association Sportive des Tréfileries (gymnastique, football, arts martiaux pour 800 licenciés) qui a permit l’éducation sportive de milliers d’enfants depuis 1896.

LA PENSÉE DE M. PROFILO

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SAINT MICHEL D’INGOUVILLE

La chapelle Saint Michel d’Ingouville fut construite à l’initiative du Seigneur Jean Mallet de Graville, grâce à sa fortune. De style gothique, elle remplaçait une précédente église romane qui avait subit les outrages du temps. Elle fût achevée en 1516, soit un an avant l’acte de fondation du Havre.

Au cours des cinq siècles, la chapelle a faillit disparaître à maintes reprises :

Le 8 mai 1562, elle est pillée par les protestants. En 1758, alors qu’elle sert de dépôt d’armes, elle essuie un bombardement anglais. Pendant la révolution elle fût un lieu de réunion et servit à l’extraction du salpêtre. En 1839, le conseil paroissial veut la détruire pour récupérer les matériaux pour agrandir l’église paroissiale. Elle doit son salut au refus de la municipalité, le méridien passant pas son clocher. Tombée dans l’abandon au XIXème siècle, elle est une nouvelle fois sous demande de destruction en 1876 mais le cardinal de Bonnechose la sauve et elle est rendue au culte le 29 septembre 1917. Gravement endommagée par les bombardements anglais du 5 septembre 1944, elle est restaurée et rouverte le 4 décembre 1949. Affectée à diverses réunions et aux communautés orientales, on y célèbre à nouveau les offices catholiques depuis le mois de mai dernier.