Le
portail tel qu’il était au XIXème siècle.
Aujourd’hui,
l’ensemble a subit les outrages du temps
Les
colonnes nervurées, en pierre de calcaire, sont noircies et elles ont subit
l’expérience malheureuse d’un nettoyage à haute pression lors de la
restauration de 1988.
Au
dessus de la porte, la plaque très dégradée fait sans doute référence à la
restauration effectuée vers 1830.
Au
dessus des colonnes des niches qui devaient accueillir les statues du roi David, des prophètes Isaïe et Elie et du patriarche Enoch, arrière grand-père de Noé.
Sur
les balustrades, on peut lire les mots « Agnus dei » (Agneau de Dieu)
et « Ave Maria gracia plena » (Je vous salue Marie pleine de grâce).
Entre ces deux balustrades, une rosace entourée de deux statues d’anges (très
détériorées) ressemble aux rosaces gothiques du moyen âge. Le triangle au
dessus comportait un bas-relief représentant Dieu le père appuyé sur deux chérubins.
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2 commentaires:
Il faut bien dire qu'elle revient de loin cette église devenue cathédrale, et comme elle n'a pas été construite en une seule fois il est parfois surprenant, en regardant ses différentes illustrations faites aux cours du temps, de constater ce qu'elle fut et ce qu'elle est.
Et l'immense travail de restauration lui a redonné fière allure !
Bon dimanche Gérard !
une cathédrale humble par sa taille, mais qui mérite le détour et qu'on s'attarde sur les détails !!
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