samedi 23 novembre 2019

SEMAINE 47/19

LIRE AU HAVRE


FAUT-IL QU’IL M’EN SOUVIENNE


            Samedi dernier, à la Galerne, l’auteur havrais Yoland Simon dédicaçait son dernier opus. Déjà auteur d’une trentaine de pièces de théâtre, de romans et de recueils de nouvelles (dont Fichue météo, prix Jean Follain), Yoland Simon présentait « Faut-il qu’il m’en souvienne », sa dernière œuvre.


Dans ce livre, l’auteur nous emmène dans l’histoire proche, partant de la Résistance pour cheminer dans la guerre d’Algérie, le retour du Général de Gaule, l’élection de François Mitterrand. Dans son très joli style, il nous raconte comment il a vécu les événements politiques, les courants artistiques de cette époque. Mais aussi les moments de bonheur à l’école, ses premières lectures, les films qu’il a aimé. Il nous raconte ses découvertes de l’enfance, de l’adolescence jusqu’à l’homme toujours dans les doutes et les remises en cause.
            Un récit absolument passionnant servi par l’écriture  châtiée de l’auteur.



CA SE PASSE AU HAVRE

AFFAIRES CONCLUES (OU PAS)

          Samedi, la brocante était au rendez-vous du 3ème samedi du mois place Auguste Perret






SPORT



UN P’TIT DERNIER


            Mardi soir, le HAC handball avait convié ses supporters dans la salle de sports du Mont Gaillard pour un match de gala contre l’équipe nationale du Sénégal.
            Pour le HAC, il s’agissait de finir l’année et simplement de servir de sparring-partner aux africaines pour qui tout commence. En effet, l’équipe des lionnes est qualifiée pour les Championnats du monde qui vont débuter le 30 novembre au Japon.
            L’entraîneur de l’équipe africaine étant le havrais Fred Bougeant, c’est dans la cité océane que celui-ci a choisi de préparer la compétition. Et 2 semaines d’entraînement risquant de devenir fastidieux, il a choisi de disputer un match amical contre son ancienne équipe.
            A part 3 joueuses, l’équipe est composée de handballeuses opérant en France. C’est la première fois que le Sénégal se qualifie pour cette épreuve et les lionnes ne voudraient pas rater la première marche.
            Pendant tout le match, les équipes sont restées au coude à coude (10-11 à la mi-temps) et si ce sont les sénégalaises qui sortirent victorieuses (23-26) de ce duel amical, cela n’est qu’anecdotique, l'important étant, pour les entraîneurs, d'analyser les défauts relevés et d'en tirer les conséquences.

Pour les sénégalaises, un échauffement rythmé, en musique.

L'ex-havraise Doungou Camara est la capitaine de la sélection sénégalaise

L'hymne sénégalais a résonné dans la salle du Mont Gaillard

L'absence d'enjeu a permis aux jeunes du centre de formation d'avoir plus de temps de jeu (ici la jeune Nora Fontaine)

Une supportrice enthousiaste

Tout le monde réunit pour la photo souvenir

L'ACTU PAR LES BIRDS




5 commentaires:

phyll a dit…

je suis un peu méfiant dans les brocantes... les prix ne sont pas toujours justifiés !
quant à POUPOU, j'aimais ce champion et son humilité .....
bon weekend !

Gédé de Le Havre a dit…

Bonjour Phyll,
J'achète rarement dans les brocantes. Il faut que l'objet m'intéresse au plus haut point et de toute façon, je négocie.
Dans ma jeunesse, j'étais un grand supporter de Poulidor. Ce qui me valait les quolibets de mon copain qui n'en voyait que par Anquetil. Avec le recul, je pense que j'avais raison.
Bon dimanche.

DAN a dit…

Quand on s’est vu la dernière fois, je t’avais dit que je ne pouvais être partout, ainsi ais-je rater la prestation de Yoland, mais depuis un mail m’est parvenu de lui et je pourrai le voir aux yeux d’Elsa en décembre !

J’aimais bien faire les brocantes personnellement, tu temps où je collectionnais les moulins à café et les « repassoirs », mais depuis j’ai abandonné ces collections pour me consacrer à celle des cartes postales. Lami Phyll a raison, les prix pratiqués dans ces brocantes sont complètement abusifs, nous en avons parlé dernièrement tant il est impossible de donner un prix exact à un objet.


Tous les matchs, quel que soit le sport, devraient être « amicaux » et sans enjeux, mais ce que j’en dit…

Quant à Raymond Poulidor à l’époque où il courrait encore je le préférai à Jacques Anquetil, pour une raison n’ayant rien à voir avec le sport, mais simplement que Poulidor avait le même prénom que mon père. Dans ma tête quand je pense à Poulidor je l’écrit toujours : poulie d’or…


Gédé de Le Havre a dit…

Bonjour Dan,
C'est vrai que les brocantes sont quelquefois élevés. Mais le prix n'est pas fonction de l'objet lui-même mais de l'offre et la demande. S'ils ont les clients pour acheter cher, pourquoi se priverait-elles ? D'ailleurs il suffit de regarder l'émission "Affaire conclue" (qui m'a donné le titre de mon article) pour voir qu'il y a souvent un gros écart entre l'évaluation de l'expert et le prix auquel les acheteurs achètent (dans un sens ou dans l'autre).
Du sport sans compétition!!! Comme tu y vas. C'est l'essence même du sport que de faire mieux que l'adversaire.
Et pour Raymond Poulidor, je l'ai dit à Phyll, j'étais fan, toujours espérant que David terrasse Goliath. Mais le Tour de France n'est pas la bible. Ceci dit, si Anquetil avait pris les mêmes produits que Poulidor (cad de l'eau claire) je pense que beaucoup de résultats auraient été inversés. Je dis ça, je dis rien…

BRIGITTE LEBLOND a dit…

tu as raison le salon de la récup devrait s'installer ailleurs, j'ai essayé de m'y rendre, impossible de me garer .... et à l'intérieur c'est difficile de s'y déplacer .
J'aimais beaucoup Poulidor, gars fort sympathique