lundi 28 février 2011

LE HAVRE, MA VILLE...

GUIGNOL AUX DOCKS




5 commentaires:

JPS a dit…

et les enfants toujours aussi attentifs...

ISA a dit…

C'est le même que celui de cet été que l'on a vu dans un parc ?

ISA a dit…

Demain, ce sera au sujet d'A. Girardot, je pense. Si oui, je suis impatiente de découvrir ton hommage..

Gédé de Le Havre a dit…

Désolé, mais il n’y aura pas de nécro pour Annie Girardot. Cet exercice d’éloges posthumes que les médias maîtrisent parfaitement au point de confondre quelquefois margarine et beurre est très difficile. Et si ça ne vient pas tout de suite, on tombe dans le banal et on répète ce qui est dit et redit sur les antennes. Ce n’est donc pas la peine d’insister, la sincérité vient dans la réaction plutôt que dans la réflexion. Ca ne veux pas dire que je n’apprécie pas Annie Girardot, je la reconnais comme une immense comédienne, mais ce n’est pas depuis hier qu’elle manque au cinéma français, si elle est feu depuis hier, elle a été éteinte par la maladie depuis longtemps. De plus, si je reconnais l’immensité de son talent, ce ne sont pas les films encensés aujourd’hui par les cinéphiles (Docteur Françoise Gailland, Mourir d’aimer) qui m’ont attiré dans les salles obscures dans les années 70 mais plutôt « Un homme qui me plait »et surtout « Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas mais elle cause » (que j’ai re-regardé il n’y a pas si longtemps) qui est resté dans ma mémoire car aucune autre voix que la sienne mettait mieux en valeur les dialogues ciselés d’Audiard.
Mais avant, tout je garderai d’elle le souvenir de cette cérémonie des Césars si émouvante au cours de laquelle l’académie s’est soudain souvenue qu’elle existait, comme les médias aujourd’hui.

ISA a dit…

Ah, bein tu vois !!! Je disais bien qu'elle avait été reconnue par ses pairs !