LE GRAND PARIS
Qui
ne connaît le Havre-de-Grâce ?
Cette
ville qui, il y a trois cents ans, n’était qu’un village de pêcheurs, est en ce
moment une des stations les plus importantes de la France maritime. On peut la
considérer aussi comme un faubourg de Paris, ou, pour le moins, comme le port
de la capitale, ainsi que le démontre la devise latine qu’on a placée à la fête
d’inauguration du chemin de fer de cette ville, en 1846 : Sic Lutetia
portus. « C’est ainsi que Paris est devenu un port. » Comme point
d’arrivée et de départ des deux Amériques, la place est une des plus
florissantes de notre pays. En toute saison, des centaines de navires
s’abritent dans ses bassins et répandent sur les côtes de la Normandie la
richesse et la belle humeur.
Un petit fils de Robinson (1905)
Philibert Audebrand
11 commentaires:
je note des oublis : Bateau feu, ST ? , Marie-Fernand, Marie-Sa.... et bien d'autres dont les noms ne reviennent pas entierement. GS
Mon propos est de souligner que l'idée du grand Paris ne date pas d'hier (même Napoléon en a parlé) et que Le Havre est toujours, plus de cent ans après, toujours actif. Je ne vois pas ce que viendrait faire ces reliques, si nobles soit-elles dans ce sujet.
les politiques sont plus prompts quand il s'agit de créer des taxes ou des impôts..
M'avez-vous déjà amenée visiter cet endroit ? J'aimerais bien, la prochaine fois...
Bonjour
Très mauvais article. Changez de sujet, cher gede, et revenez au Havre...
Décidément, j’ai du mal à me faire comprendre sur ce sujet ! J’ai pris un texte de Philibert Audebrand (*) (1815-1906) (voir Wikipédia) écrit en 1905 pour montrer que ce texte, à quelques détails près, aurait pu être écrit aujourd’hui. J’ai choisi, pour illustrer mon propos quelques photos reflétant l’activité du port aujourd’hui. Il ne s’agît donc pas de faire l’inventaire des pièces de musée du port (GS), il ne s’agit pas non plus d’un endroit précis mais de plusieurs vues du port du Havre (Isa) et même si vous jugez ce sujet mauvais, sans l’avoir compris, je ne pourrait pas revenir au Havre puisque je ne l’ai pas quitté (Monsieur Anonyme)
(*) Texte emprunté dans un opuscule intitulé « Le gout du Havre » aux éditions Mercure de France, qui réunit des textes sur Le Havre par Sandrine Fillipetti.
OK, en revanche, tu as mal compris une partie de ce que voulait dire M. Anonyme.. Du moins c'est ce que je pense. Je pense qu'il a voulu dire que d'autres noms de bateaux auxquels il pensait ne lui revenaient pas (en tête). Il manque juste un pronom possessif (me) dans sa phrase.
Dommage d'ailleurs qu'un tel lieu, avec autant de bateaux réunis, n'existe pas...
Et Anonyme est peut-être une dame !?
@ Isa :
1) Ce lieu existe, ça s'appelle le port du Havre.
2) Le premier anonyme ne l'est pas vraiment puisqu'il a signé "GS" et tu le connais très bien. J'ai pu m'expliquer de vive voix avec lui. Monsieur Anonyme est le deuxième dont j'ignore totalement l'identité et dont la recherche de cette identité m’apparaît sans intérêt même si c'est une dame.
............ J'ai honte.......... !!!! Les bateaux sur le port du Havre me semblaient plus loin, moins visibles (plan vigipirate oblige, comme à Marseille).
Et enfin, je n'avais vu que le premier anonyme.. En effet le second te dit bien qu'il faut revenir à Marseille..
Désolée !!
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