dimanche 31 mai 2015

SPORT

LA MESSE EST DITE

            Hier soir, vers 21 h 15, le sort du HAC était joué : L’équipe havraise jouera la saison prochaine (et peut-être d’autres) en 2ème division. Pour se sauver, le HAC devait battre Toulon dans la petite salle Delaune de Gonfreville l’Orcher et dans le même temps, Dijon devait perdre sa confrontation face à Mios. Aucune des 2 conditions n’ont été réunies : Dijon a gagné 26-25 alors que le HAC s’inclinait 32-31.
            Les choses avaient pourtant bien commencé puisque la 1ère mi-temps voyait les 2 équipes se répondre du tac au tac et c'est e HAC qui virait en tête à mi-parcours (17-16) tandis que Dijon avait également un but de retard.

            Mais en 2ème mi-temps, l’affaire s’est gâtée et les toulonnaises, resserrant les boulons tandis que la défense havraise montrait quelques faiblesses, l’écart en faveur des varoises grandit petit à petit pour atteindre 4 buts à 10 minutes de la fin (24-28). Un dernier sursaut des havraises les ramenaient à un but au gong, mais tout cela n'était qu'anecdotique puisqu’en Gironde, Dijon avait déjà réglé le sort des havraises.

Jusqu'ici, tout va bien...
Ramune Pekarskyte malmenée par Stéphanie Daude et Laurene Catani
Hadja Sawaneh, si efficace en 1ère mitemps (5 tirs --> 5 buts) a ciré le banc en 2ème mi-temps (???!!!)
Maria Da Silva face à Noémie Barthélémy et Simone Thiero
Simone Thiero, Noémie Barthélémy et Sabrina Ciavatti s'opposent à Julie Dazet
Laurisa Landre, toujours aussi volontaire, s'est battue jusqu'au bout
Grosse inquiétude chez les supporters
Nordine Oucha tente une dernière tactique
Jean Claude Marlet, président des Att'HAC hand, remet le bouquet de la meilleure joueuse du match à l'ex-capitaine havraise Stéphanie Daude (8 buts sur 9 tirs)
Julie Dazet confie sa déception à France Bleu
Il reste un dernier espoir de voir le HAC poursuivre l'aventure dans l’élite du handball féminin français qu’il occupait depuis 15 ans, le plus long bail après Metz : La CNCG a rétrogradé Mios et Dijoin pour n'avoir pas respecté les règles financières. Les 2 clubs ayant fait appel, la décision est suspendue. Si l’une des deux décisions était maintenue, le HAC serait repêché.
            Ce sauvetage possible, peu glorieux puisque obtenu en dehors des valeurs sportives serait le bienvenu pour continuer l’aventure. Mais on peut se demander avec qu’elle équipe, huit joueuses étant déjà inscrites sur la feuille des départs.

samedi 30 mai 2015

BRÈVES...

·         Jean Marie Le Pen voudrait marier sa fille à Florian Philippot. Si cela se faisait, pourvu qu’ils ne fassent pas d’enfants.
·         La réforme des collèges et son battage politico-médiatique sur les classes bi-langues, l’interdisciplinarité, les langues anciennes, etc, tout ça me parait très compliqué, j’en perds mon latin !
·         Depuis l’arrivée de Daesh à Palmyre, les archéologues craignent pour la sauvegarde des vestiges antiques. Mais pour l’instant, pas de danger, les terroristes sont occupés à égorger et décapiter des gens.
·         Entre 5000 et 8000 salariés des Hôpitaux de Paris se sont une nouvelle fois rassemblés jeudi pour protester contre le projet de réorganisation de leur temps de travail. Les infirmières ont le blues.
·         Sepp Blatter  a été réélu président de la FIFA. Pourtant, Michel Platini avait bien déblatéré sur lui.
·         Après sa réelection à la tête de la FIFA, Sepp Blatter respire. La candidature du Prince Ali l’avait laissé baba.
·         Guy Noves va prendre en main le XV de France après la coupe du monde. Pour le prochain mondial, on  continuera à prier Saint André.
·         A partir d’aujourd’hui, l’UMP devient « Les républicains ». Nicolas Sarkozy réalise donc une partie de son rêve : Faute d’être Président de la République, il est président des républicains.
·         En décidant de s’appeler « Les républicains », les ex-umpistes tendent la joue pour prendre les gifles que veulent leur donner leurs adversaires : sur la toile, ils s’appellent déjà « Les ripoublicains ».
·         Carnet Mondain : Monsieur et Madame Komingan sont heureux de vous annoncer la naissance de leur fille Samira.

vendredi 29 mai 2015

ANNIVERSAIRE

IL Y A 80 ANS…

                … le 29 mai 1935, le paquebot NORMANDIE quittait le Havre pour son voyage inaugural.
                Après que les agents de voyages, derniers invités à visiter le navire, aient quitté le bord, l’embarquement des 1261 passagers peut commencer. Parmi eux, la marraine Madame Albert Lebrun et le ministre de la Marine Marchande William Bertrand.
                Mais à la fin de la matinée, à 5 heures du départ, une panne générale d’électricité remet en cause la suite des opérations. Toutes les lumières sont éteintes, les ascenseurs sont bloqués, les fourneaux des cuisines ne fonctionnent plus et les treuils d’embarquement sont à l’arrêt. Ce n’est qu’une heure après que les choses rentrent dans l’ordre et que les opérations d’embarquement peuvent reprendre. Alors que la rumeur d’un sabotage avait couru, cet incident était simplement du à l’extrême sensibilité des systèmes de sécurité qui s’étaient déclenchés à la suite de l’arrêt des  turbos-dynamos.
                Et à 18 h 25, le NORMANDIE, sous les ordres du Commandant René Pugnet décolle du quai Johannes Couvert, assistés par les remorqueurs de la Transat, le MINOTAURE, le TITAN et l’URSUS. Les jetées sont noires de monde. Non seulement tout Le Havre est là, mais on est venu aussi de toute la France pour assister à l’événement. En ville, tous les hôtels affichent complet.
                Alors qu’il est salué par les sirènes des remorqueurs et de tous les bateaux qui l’escortent, il répond par trois longs coups de sa sirène. Le sémaphore abaisse son pavillon par trois fois.

                Après avoir débarqué le pilote, à 19 h 28, NORMANDIE met les machines en roue libre, il gagne le large, cap sur Southampton puis New York où l’attend une arrivée triomphale.


La salle à manger des 1ère classe
Le jardin d'hiver
Le fumoir des 1ère classe

jeudi 28 mai 2015

SPORT

C’EST PAS FINI… mais…

            Nos handballeuses sont au bord du gouffre et à chaque match, elles font un pas en avant. Hier soir au Docks, elles recevaient Mios-Biganos-Bègles pour l’avant-dernier match de ces maudits play-downs. Et malheur au vaincu !!!
            Et les choses partaient pourtant bien pour les havraises, un arrêt de Linda Pradel sur le premier tir miossais, deux buts de Jessica Alonso et le HAC était devant. Mais ça n’allait pas durer, les miossaises réagissaient et après une dernière égalité à 7-7 à la 13ème minute, les girondines pérennisaient leurs efforts et, à la mi-temps, c’est avec un retard de 5 buts (13-18) que les havraises retournaient aux vestiaires.
            Alors que le pessimisme avait envahit les gradins, les ciel et marine revenaient avec de bonnes dispositions et 4 minutes plus tard, elles ne comptaient plus qu’un but de retard (17-18). Mais l’entraîneur de Mios demandait un temps mort et remettait ses joueuses dans le sens de la marche. Plus rien ne pouvaient alors entraver leur marche en avant qui s’achevait avec un 25-32 au coup de gong.

            Quand on perd, on peut toujours invoquer l’arbitrage et celui d’hier soir fut loin de tous soupçons mais quand il y a 25 pertes de balles contre 13 à l’adversaire, il faut balayer devant sa porte, savoir accepter la défaite et en chercher les causes ailleurs. Ce sera le travail des joueuses et du staff avant la conclusion de la saison samedi soir  à Gonfreville l’Orcher, les Docks étant laissé à la disposition de « l’humoriste » controversé Dieudonné.

Le match débute sous les meilleurs auspices : un bel arrêt de Linda Pradel sur le 1er tir miossais...
...et un penalty de l'ex capitaine havraise Nely Carla Alberto stoppé par Mercedes Castellanos
Non, Myriam Borg-Korfanty et Julie Dazet ne dansent pas un tango
Martina Corkovic ramène les havraises à un but de retard (5-6  - 9ème minute)
Julie Dazet malmenée par Chloé Bitonti
Romane Frécon, auteur d'un 5 sur 5 aux pénalties
Le mur miossais n'empêche pas Ramune Pekarskyte de ramener la marque à 16-18
Laurisa Landre avec toute sa hargne
Marine Desgrolard tente un lob qui finira sur la barre
A deux (Mireya Gonzales et Nely Carla Alberto) pour arrêter Ramune Pekarskyte
Et à la fin, ce sont les miossaises qui gagnent
Pour le HAC, samedi soir 20 heures à la salle Delaune, Il s’agira absolument de battre Toulon, déjà assuré du maintien. Mais il faudra aussi que dans le même temps, les miossaises, également rassurées sur leur sort, battent Dijon. Ce n’est qu’avec la conjugaison de ces deux résultats que le HAC pourra jouer une seizième saison consécutive dans l’élite du handball féminin français.

mercredi 27 mai 2015

LE HAVRE, MA VILLE...

SWING A LA PLAGE
Mon coup de cœur

BLUE SERENADERS ET NATASHA BORDER

           Cet ensemble a été créé en 2011 à partir des Dumoustier Strompers. L’expérience et le talent de ces musiciens sont encore relevés par la présence de Natasha Brander qui entraîne le public dans son swing, son émotion et son énergie.


Laurent Verdeaux à la trompette et cornet
Gilles Chevaucherie à la contrebasse
Marie Ange Martin à la guitare
Didier Hussenot au piano et trombone

Natasha Border au chant





mardi 26 mai 2015

LE HAVRE, MA VILLE...

SWING A LA PLAGE

CAUX SEINE BIG BAND

            Un orchestre d’amateurs et de professionnels du Conservatoire Caux Vallée de Seine.




ORCHESTRE JAZZ MANOUCHE





FANFARE CUIVRE ET ZINC
            Jazz festif et énergique de la Nouvelle Orléans




KOOL CAST BRASS GANG
            Les élèves du JUPO sous la direction de Nicolas Seigneuret




à suivre

lundi 25 mai 2015

LE HAVRE, MA VILLE...

SWING A LA PLAGE

MULTICOLOR JAZZ ORCHESTRA

            Les élèves du conservatoire et du JUPO (Jazz Union de la Porte Océane) réunis en septembre 2014 par Sébastien Guillaume nous emmènent de la soul au latin jazz en passant par le groove.




BURGUNDY SWING
            Venus de Bourgogne, ces musiciens interprètent le swing des années 1935 à 1950.




ORCHESTRE BALALLATINE JAZZ




(à suivre)