vendredi 31 décembre 2010

jeudi 30 décembre 2010

BRÈVES...

  • Le médiator a-t-il été retiré de la vente trop tard ? Pour régler le problème, Xavier Bertrand, notre ministre de la santé, propose de nommer un médiateur.
  • Analysant les résultats du HAC, Cédric Daury, l'entraîneur déclare : Notre marge de progression, c'est notre capacité (...) à geler le ballon..." Trop tard, c'est le redoux !
  • Il y a quelque mois, François Fillon avait déclaré qu'Hervé Ghesquière et Stéphane Taponnier passeraient noël à la maison. De quelle année ?
  • Les autorités françaises ont reçu une preuve de vie du français Denis Allex, retenu en otage depuis le 14 juillet 2009 en Somalie. Mais on s'en fout, il n'est pas journaliste.
  • Hugh Hefner, le patron fondateur de Playboy, 84 ans, épouse Crystal Harris, 24 ans, la playmate de décembre 2009. Si ça se trouve, elle ne sait même pas faire la cuisine...
  • Bobby Farell, le chanteur de Boney M est décédé à l'âge de 61 ans. Il est définitivement cool, daddy.
  • Elisabeth Tessier prédit un possible "avenir présidentiel" à DSK. C'est pas bon signe pour lui.

dimanche 26 décembre 2010

LE HAVRE, MA VILLE...

Rencontre insolite vendredi, dans les rues du Havre : Le Père Noël (le vrai !) au volant du dernier né des autobus Dell’Arte (le 10ème), décoré par le peintre et sculpteur havrais Gilbert Dauguet.


samedi 25 décembre 2010

AGENDA

SAMEDI

25

DÉCEMBRE

L'appel du 25 décembre

Bon Noël à tous, visiteurs et teuses, fidèles et occasionnel(les), à tous ceux qui apprécient ce blog (ou pas) !

vendredi 24 décembre 2010

CHANSON

Celui-là passe toute la nuit

A regarder les étoiles

Où qu'ils aillent
Ils sont tristes à la fête
Où qu'ils aillent
Ils sont seuls dans leur tête


Je veux chanter pour ceux
Qui n'ont pas de chez eux
Et qui ont dans leurs yeux
Quelque chose qui fait mal
Qui fait mal
Je veux chanter pour ceux
Qu'on oublie peu à peu
Et qui gardent au fond d'eux
Quelque chose qui fait mal
Qui fait mal

Quand je pense à eux
Ça fait mal ça fait mal

(M. Berger)

mardi 21 décembre 2010

LE HAVRE, MA VILLE...

RIEN A DÉCLARER

Cet après-midi, Dany Boon est venu au cinéma Gaumont présenter en avant-première son nouveau film « Rien à déclarer ». Il était accompagné de trois des comédiens du film : Julie Bernard, Zinedine Soualem et Bruno Lochet.

Bien qu’en retard de plus d’une heure, le public, qui a rempli 3 salles, a réservé un accueil chaleureux à cette équipe sympathique avant de regarder le film qui ne sortira officiellement que le 26 janvier dans les salles du nord de la France et le 2 février dans le reste du pays.

Même si ce deuxième opus de Dany Boon a très peu de chance de faire 20 millions d’entrée, les rires entendus dans la salle lors de la projection laissent augurer d’un nouveau joli succès.



C’est l’histoire d’un douanier belge obsédé par l’invasion de sa terre sacrée belge par les « camemberts » qui, confronté à l’ouverture des frontières en Europe est contraint de faire équipe avec son ennemi de toujours, homologue français, pour fonder la première brigade volante franco-belge.

Tous les deux dans une 4L poussive mais rapidement transformée façon « taxi » vont se lancer à la poursuite de trafiquants de drogue. L’intrigue se complète par les amours secrètes entre le douanier français et la sœur de son coéquipier belge.

Après une succession de gags dans la lignée des « ch’tis », tout se terminera dans un classique happy end prévisible.

ps : Merci d'accepter mes excuses pour la mauvaise qualité des images dues à : 1) je n'avais en ma possession qu'un petit appareil compact - 2) Malgré les demandes de Dany Boon, l'opérateur de la salle n'a pas trouvé l'interrupteur pour allumer la lumière.

dimanche 19 décembre 2010

CONTE DE NOEL

On ne s’était aperçu de rien, on n’avait pas fait attention ! Cet été, les chaleurs dues au réchauffement de la planète n’avaient pas atteint la canicule de 2003, mais quelques personnes âgées avaient quand même été enlevées à l’affection des leurs par une déshydratation fatale et parmi celles-ci, figurait le Père Noël. Sitôt que fut découverte cette affreuse nouvelle, les hautes instances s’affolèrent. Comment allait-on faire ? On était déjà début décembre et rien n’était préparé. Où allait-on trouver un remplaçant au vieux bonhomme disparu. C’est à TF1 qu’on fit les premières suggestions. Et si on organisait une « Père Noël Accadémy » suggérèrent les dirigeants de la chaîne. On enfermerait quelques candidats dans la cabane au Canada de Line Renaud avec quelques professeurs de Père Noël et un dresseur de rennes (c’est méchant un renne, ça peut manger un père Noël). L’idée fut jugée intéressante et l’on passa tout de suite au casting. Les candidats étaient nombreux et le déchet important. Trop jeune ! Trop glabre ! Trop gros ! (il fallait pouvoir passer dans les cheminées) Trop petit ! Trop chauve ! Trop moche ! Trop vert (Un Père vert ne pouvait côtoyer les enfants) ! Trop typé ! Trop con ! Et enfin, pour le dernier : Trop tard ! Finalement, les candidats retenus furent au nombre de 6. Ils s’appelaient Nicolas, François, Alain, Brice, Eric, Xavier. Hélas, ce fut un fiasco terrible. Au bout d’une semaine, on s’aperçu que ces gens ne faisaient pas l’affaire. Ils n’avaient jamais fait de cadeaux et ne comptaient pas en faire. Plus que la fonction, c’était le titre qu’ils briguaient. Devant cet échec, on réunit aussitôt une commission supérieure qui devait absolument prendre une décision rapide. La solution adoptée fut que puisque le Père Noël avait disparu et que personne n’était capable de reprendre le traîneau, il n’y aurait plus de Père Noël. Ce seraient les papas et les mamans qui seraient chargés de la distribution des cadeaux. Quelques membres de la commission s’opposèrent à cette option, arguant que celle-ci entraînerait des inégalités parmi les enfants. Mais cette solution fut finalement adoptée à une grande majorité des votants car enfin, il fallait arrêter de se faire du cinéma, le Père Noël était une ordure : il a toujours été plus généreux avec les gosses de riches qu’avec les enfants de pauvres. Et ce n’est pas près de changer.

samedi 18 décembre 2010

LE HAVRE, MA VILLE...

FIN DE LA PARTIE ?

Quand les remorqueurs de la SNRH (Société Nouvelle de Remorquage du Havre) en 2006 sont venus s’accoster aux quais du Havre pour apporter la concurrence dans le remorquage, la société Boluda qui avait repris la compagnie historique des Abeilles, n’a pas vu l’opération d’un bon œil. Aussi, a-t-elle tout fait pour chasser l’intrus et retrouver son monopole, s’appuyant sur les méthodes des nouveaux venus jugées limites au niveau de la réglementation sur l’organisation du travail. Cette guerre ayant fragilisé la situation financière des « rouges », la compagnie s’interroge sur son avenir au Havre. Le 3 janvier, les 5 unités de l’armement (autrefois 6) pourraient quitter notre port, laissant Boluda seul maître des lieux et 70 salariés sur le quai.





jeudi 16 décembre 2010