ACTU

DES PROMESSES, TOUJOURS DES PROMESSES...

Chaque matin, des milliers d'habitants de la banlieue parisienne prennent le train pour se rendre à leur travail dans la capitale. Pour la plupart, ils voyagent debout parce que le nombre de rames mises à la disposition des voyageurs est inférieur à la demande. Les jours de grève des cheminots, faute de trains, ils doivent se rendre à leur travail à pied, à cheval ou en voiture ou ne pas s'y rendre du tout. Alors, quand quelqu'un leur dit que s'ils votent pour lui, il y aura des trains tous les jours même les jours de grève, ils votent pour lui.

Seulement, ce n'est pas comme ça que ça va se passer car la mise en place d'un service minimum ne résoudra rien. Le service, il est déjà au minimum tous les jours et s'il y a quelques trains les jours de grève, il ne faut pas rêver, bon nombre d'usagers resteront sur le quai dans l'attente d'un hypothétique convoi. Si à la place de 5 trains complets (pour ne pas dire bondés), il n'y en a plus que 2, tout le monde ne pourra pas s'y entasser et seuls quelques chanceux prendront le train, les autre émargeront sur la longue liste des déçus.

AVEC SARKO,

DES PROMESSES A GOGO,

POUR DES GOGOS !