Le petit Nicolas déménage à la campagne et achète un âne à un vieux fermeir pour 100 euros. Le fermier doit livrer l'âne le lendemain mais justement le lendemain :
- Désolé fiston, mais j'ai une mauvaise nouvelle : l'âne est mort.
- Bien alors, rendez-moi mon argent.
- Je ne peux pas faire ça. J'ai déjà tout dépensé...
- Eh ben alors, vous n'avez qu'à m'apporter l'âne.
- Qu'est-ce que tu va faire avec ?
- Je vais le faire gagner par un tirage à une tombola.
- Tu ne peux pas faire tirer un âne mort !
- Certainement que je peux. Je ne dirais à personne qu'il est mort.
Dans sa situation, le fermier se dit qu'il ne peut pas vraiment refuser. Il amène donc l'âne au petit Nicolas.
Un mois lus tard, il revient voir le petit Nicolas.
- Qu'est devenu mon âne mort ?
- Je l'ai fait tirer au sort. J'ai vendu 500 billets à 2 euros : ça m'a fait une recette de 1000 euros.
- Et personne ne s'est plaint ?
- Si, le gars qui a gagné. Ça fait que je lui ai rendu ses 2 euros...
Nicolas a vieilli et est devenu Président de la République.
Et pour gagner plus, il est toujours entouré d'ânes...
1 commentaire:
Merci pour ce sourire. Elle est bonne, celle-là, même si elle n'est pas très morale. Mais on a vu pire dans ce domaine ...
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