dimanche 24 février 2008

ACTU

Quand on est chef d'état, au fil de sa mandature, on prononce certaines phrases qui restent dans les mémoires, qui passent à la postérité. C'est ainsi que l'on peut citer :
  • Jules César : "Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu." ou "Le sort en est jeté."
  • Louis XIV : "L'état c'est moi."
  • Napoléon Ier : "Du haut de ces pyramides, 40 siècles vous contemplent."
  • Georges Clémenceau : "La guerre est une chose trop grave pour être confiée à des militaires."
  • Winston Churchill : "Je n'ai à vous offrir que du sang, de la sueur et des larmes."
  • Charles de Gaulle : "La réforme, oui. La chienlit, non ! Il faut que cela se sache." ou "Un pays qui produit 365 sortes de fromages ne peut pas perdre la guerre." ou encore : "Je vous ai compris".
  • Valéry Giscard d'Estaing : "Vous n'avez pas le monopole du coeur."

Pour Nicolas Sarkozy, ce sera : "Alors casse-toi, pauvre con !"

3 commentaires:

Jean Louis a dit…

mon pote Sarko, pète les plombs

ISA a dit…

Ce 1er commentaire prouve une nouvelle fois l'importance de la ponctuation. Pour illustrer encore cette importance me viennent à l'esprit cette célébre phrase "Messieurs les Anglais tirez les premiers" ou encore ce diction "Qui dort dîne" auxquels j'ai volontairement ôté toute la ponctuation puisque chacun les met où il veut en fonction du sens qu'il souhaite leur donner. Car, au vu de l'emplacement de la virgule dans ce commentaire, nous aurions légitimement pu penser que JLouis ne faisait qu'encourager son - toutefois - vieux pote à péter les plombs, alors qu'il ne fait que constater le pétage de plombs de ce dernier (sauf erreur de ma part, bien évidemment).

ISA a dit…

il y a aussi cette autre phrase célèbre : "Viens, viens, descend le dire.. Si tu crois que c'est en insultant que tu vas régler les problèmes des pêcheurs"
(5/11/2007). Nous donnera-t-il la possibilité, durant son mandat, de retenir de doux propos de sa part ou devrons-nous nous habituer à sa violence et son manque de retenue ?