Quand on a couru pendant une heure pour battre des handballeuses norvégiennes qui étaient loin de vouloir se laisser faire, on n'a qu'une envie, c'est de retourner rapido au vestiaire pour se refaire une santé sous une douche salvatrice. Mais quand les jeunes supporters et "trices" envahisssent le parquet en quête d'autographes, si on n'a pas la grosse tête, si on a du respect pour le public, on reste et on se soumet à son devoir avec le sourire. C'est une leçon pour certains grands professionnels dont la tête s'est surdimensionnée à l'échelle de leur compte en banque au point de ne plus rentrer dans leur chapeau.
Merci, les filles !
1 commentaire:
entierement d'accord !
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