vendredi 19 mars 2010

LE HAVRE, MA VILLE...

Tandis qu’à leurs œuvres perverses
Les hommes courent haletants,
Mars qui rit, malgré les averses
Prépare en secret le printemps...








(...)

Puis, lorsque sa besogne est faîte,
Et que son règne va finir,
Au seuil d’avril tournant la tête,
Il dit : « Printemps, tu peux venir ! »
Premier sourire du printemps
(Théophile Gautier)

5 commentaires:

ISA a dit…

J'en connais un qui doit s'impatienter à l'idée de boire une bonne (c'est un euphémisme) Despé en terrasse ! Quant à moi, j'aimerais bien savoir si les frites de mon époque en vacances havraises existent toujours... Les meilleures, ou parmi les meilleures jamais mangées de toute ma vie !

ISA a dit…

Un usurpateur, sur la première photo : la plage des Flots Bleus est à Concarneau !

ISA a dit…

Et au passage, on invente un nouveau mot, ni vu ni connu... Pfff... Je suis lasse de cette perte d'intérêt envers les mots (je risque de passer pour une bourge, car bien souvent, on associe le goût des mots à la richesse ou au paraître... A tort, vraiment. D'ailleurs, une parenthèse, puisque l'on en parle, dans ce livre, de l'amour des mots, il faut lire : "Et monter lentement dans un immense amour" (je sais, le titre fait eau-de-rose, mais ce n'est qu'une impression)de Katherine PANCOL.), bref, tout ça pour dire que "saladerie", c'est nouveau !

Anonyme a dit…

c'est vrai, on s'impatiente de voir l'installation des "restos" à la plage et de déguster entre amis les meilleures frites...faut tout simplement être patient.
Bernard

ISA a dit…

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