Cher Jean,
La semaine dernière, lorsque j’écoutais dans ma voiture une compil perso des meilleures chansons françaises, en t’entendant chanter les vertus de ta môme, jeune ouvrière d’usine cristolienne qui refusait d’entendre les sirènes des vacances à Saint Paul de Vence, je ne pouvais m’éviter de regretter l’oubli dans lequel tu étais tombé. Faut dire que tu en avais l’habitude tant, tout au long de ta carrière de chanteur, les médias t’avaient ignoré, voire même rejeté par l’intermédiaire de Dame censure qui n’aimait pas ta voix juste, tes textes justes et l’homme juste que tu étais.
Aujourd’hui, parce que tu es mort, les portes te sont grandes ouvertes et d’où tu es maintenant, tel que je te connais, cela doit te faire bien rigoler.
Maintenant, tu rejoins le bistrot des copains où tu va retrouver ton pote Louis qui, grâce à toi, a évité l’indifférence que la France réserve habituellement à ses meilleurs poètes. Tu va y retrouver également tes amis Georges, Jacques, Léo et les autres qui t’y ont malheureusement précédé.
A nous, il ne reste plus que ton œuvre qui ne sera plus jamais enrichie. Mais grâce à ta grande copine Isabelle, celle-ci sera perpétuée pour que les vieux se souviennent toujours et que les jeunes te découvrent encore.
Et selon la formule consacrée qui te va si bien :
CHAPEAU, L’ARTISTE !
La semaine dernière, lorsque j’écoutais dans ma voiture une compil perso des meilleures chansons françaises, en t’entendant chanter les vertus de ta môme, jeune ouvrière d’usine cristolienne qui refusait d’entendre les sirènes des vacances à Saint Paul de Vence, je ne pouvais m’éviter de regretter l’oubli dans lequel tu étais tombé. Faut dire que tu en avais l’habitude tant, tout au long de ta carrière de chanteur, les médias t’avaient ignoré, voire même rejeté par l’intermédiaire de Dame censure qui n’aimait pas ta voix juste, tes textes justes et l’homme juste que tu étais.
Aujourd’hui, parce que tu es mort, les portes te sont grandes ouvertes et d’où tu es maintenant, tel que je te connais, cela doit te faire bien rigoler.
Maintenant, tu rejoins le bistrot des copains où tu va retrouver ton pote Louis qui, grâce à toi, a évité l’indifférence que la France réserve habituellement à ses meilleurs poètes. Tu va y retrouver également tes amis Georges, Jacques, Léo et les autres qui t’y ont malheureusement précédé.
A nous, il ne reste plus que ton œuvre qui ne sera plus jamais enrichie. Mais grâce à ta grande copine Isabelle, celle-ci sera perpétuée pour que les vieux se souviennent toujours et que les jeunes te découvrent encore.
Et selon la formule consacrée qui te va si bien :
CHAPEAU, L’ARTISTE !
2 commentaires:
Bravo les artistes ! Je dis bien : "LES artistes"
Je me serais attendue à plus de commentaires sur ce sujet... Pas toi, Gérard ?
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